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Toutes sont nées après la première guerre mondiale. Toutes ont vu, connu et expérimenté l’ensemble des bouleversements du monde agricole du siècle passé. Toutes étaient des « femmes de », des « filles de », toujours au second plan des fermes hexagonales. Alexis Vettoretti a choisi d’enfin valoriser leurs existences par cette série de portraits en huis clos touchante, belle et essentielle.

revue EPIC #8 Paysannes - par Alexis Vettoretti
Toutes sont nées après la première guerre mondiale. Toutes ont vu, connu et expérimenté l’ensemble des bouleversements du monde agricole du siècle passé. Toutes étaient des « femmes de », des « filles de », toujours au second plan des fermes hexagonales. Alexis Vettoretti a choisi d’enfin valoriser leurs existences par cette série de portraits en huis clos touchante, belle et essentielle.

revue EPIC #8 Paysannes - par Alexis Vettoretti
Toutes sont nées après la première guerre mondiale. Toutes ont vu, connu et expérimenté l’ensemble des bouleversements du monde agricole du siècle passé. Toutes étaient des « femmes de », des « filles de », toujours au second plan des fermes hexagonales. Alexis Vettoretti a choisi d’enfin valoriser leurs existences par cette série de portraits en huis clos touchante, belle et essentielle.

revue EPIC #8 Paysannes - par Alexis Vettoretti
Toutes sont nées après la première guerre mondiale. Toutes ont vu, connu et expérimenté l’ensemble des bouleversements du monde agricole du siècle passé. Toutes étaient des « femmes de », des « filles de », toujours au second plan des fermes hexagonales. Alexis Vettoretti a choisi d’enfin valoriser leurs existences par cette série de portraits en huis clos touchante, belle et essentielle.

EPIC 8 - Atlas des pays qui n'existent pas // Lavinia Parlamenti & Manfredi Pantanella
En observant les disparités et les similitudes présentes dans cinq pays non reconnus par l’onu : Transnistrie, République de Chypre du nord, catalogne, Sahara Occidental et République de l’artsakh, Lavinia parlamenti et Manfredi pantanella posent une question simple : qu’est-ce qui définit un pays ? Assumant une esthétique de l’absurde et un humour décalé, leur quête ne cherche pas à répondre à cette question : qui le pourrait ? Elle en fait naître cependant une kyrielle d’autres. Le propre de la photo documentaire.

EPIC 8 - Atlas des pays qui n'existent pas // Lavinia Parlamenti & Manfredi Pantanella
En observant les disparités et les similitudes présentes dans cinq pays non reconnus par l’onu : Transnistrie, République de Chypre du nord, catalogne, Sahara Occidental et République de l’artsakh, Lavinia parlamenti et Manfredi pantanella posent une question simple : qu’est-ce qui définit un pays ? Assumant une esthétique de l’absurde et un humour décalé, leur quête ne cherche pas à répondre à cette question : qui le pourrait ? Elle en fait naître cependant une kyrielle d’autres. Le propre de la photo documentaire.

EPIC 8 - Atlas des pays qui n'existent pas // Lavinia Parlamenti & Manfredi Pantanella
En observant les disparités et les similitudes présentes dans cinq pays non reconnus par l’onu : Transnistrie, République de Chypre du nord, catalogne, Sahara Occidental et République de l’artsakh, Lavinia parlamenti et Manfredi pantanella posent une question simple : qu’est-ce qui définit un pays ? Assumant une esthétique de l’absurde et un humour décalé, leur quête ne cherche pas à répondre à cette question : qui le pourrait ? Elle en fait naître cependant une kyrielle d’autres. Le propre de la photo documentaire.

EPIC 8 - Atlas des pays qui n'existent pas // Lavinia Parlamenti & Manfredi Pantanella
En observant les disparités et les similitudes présentes dans cinq pays non reconnus par l’onu : Transnistrie, République de Chypre du nord, catalogne, Sahara Occidental et République de l’artsakh, Lavinia parlamenti et Manfredi pantanella posent une question simple : qu’est-ce qui définit un pays ? Assumant une esthétique de l’absurde et un humour décalé, leur quête ne cherche pas à répondre à cette question : qui le pourrait ? Elle en fait naître cependant une kyrielle d’autres. Le propre de la photo documentaire.

EPIC 8 - Atlas des pays qui n'existent pas // Lavinia Parlamenti & Manfredi Pantanella
En observant les disparités et les similitudes présentes dans cinq pays non reconnus par l’onu : Transnistrie, République de Chypre du nord, catalogne, Sahara Occidental et République de l’artsakh, Lavinia parlamenti et Manfredi pantanella posent une question simple : qu’est-ce qui définit un pays ? Assumant une esthétique de l’absurde et un humour décalé, leur quête ne cherche pas à répondre à cette question : qui le pourrait ? Elle en fait naître cependant une kyrielle d’autres. Le propre de la photo documentaire.

revue EPIC #8 / Dina Oganova // I'm Georgia // Mon nom est Géorgie
Depuis plus de vingt ans — sans doute depuis qu’elle tient en main un appareil photo — Dina Oganova photographie son pays, la Géorgie. Sa série d’images aux noirs et blancs intenses se construit comme une lettre d’amour à ses montagnes, aux rives de la mer Noire et à toutes les scènes du quotidien qu’elle peut capter de Tbilissi à Batumi. Ses images pourraient être documentaires, elles sont surtout le reflet de ce qu’elle ressent au fond d’elle et qu’elle souhaite simplement transmettre.

revue EPIC #8 / Dina Oganova // I'm Georgia // Mon nom est Géorgie
Depuis plus de vingt ans — sans doute depuis qu’elle tient en main un appareil photo — Dina Oganova photographie son pays, la Géorgie. Sa série d’images aux noirs et blancs intenses se construit comme une lettre d’amour à ses montagnes, aux rives de la mer Noire et à toutes les scènes du quotidien qu’elle peut capter de Tbilissi à Batumi. Ses images pourraient être documentaires, elles sont surtout le reflet de ce qu’elle ressent au fond d’elle et qu’elle souhaite simplement transmettre.

revue EPIC #8 / Dina Oganova // I'm Georgia // Mon nom est Géorgie
Depuis plus de vingt ans — sans doute depuis qu’elle tient en main un appareil photo — Dina Oganova photographie son pays, la Géorgie. Sa série d’images aux noirs et blancs intenses se construit comme une lettre d’amour à ses montagnes, aux rives de la mer Noire et à toutes les scènes du quotidien qu’elle peut capter de Tbilissi à Batumi. Ses images pourraient être documentaires, elles sont surtout le reflet de ce qu’elle ressent au fond d’elle et qu’elle souhaite simplement transmettre.

revue EPIC #8 / Dina Oganova // I'm Georgia // Mon nom est Géorgie
Depuis plus de vingt ans — sans doute depuis qu’elle tient en main un appareil photo — Dina Oganova photographie son pays, la Géorgie. Sa série d’images aux noirs et blancs intenses se construit comme une lettre d’amour à ses montagnes, aux rives de la mer Noire et à toutes les scènes du quotidien qu’elle peut capter de Tbilissi à Batumi. Ses images pourraient être documentaires, elles sont surtout le reflet de ce qu’elle ressent au fond d’elle et qu’elle souhaite simplement transmettre.

EPIC #8 / Mother / Lisa Sorgini
Derrière les chromies chaudes et la douceur des images de Lisa Sorgini, on retrouve les joies, les frustrations, l’épuisement et l’amour immense qui accompagnent l’arrivée d’un enfant. Outre une réflexion personnelle, la photographe australienne cherche à interroger le cœur du sentiment maternel, au-delà de la cellule familiale et la complexité du rôle des mères dans la société, souvent simplifié voire déconsidéré.

EPIC #8 / Mother / Lisa Sorgini
Derrière les chromies chaudes et la douceur des images de Lisa Sorgini, on retrouve les joies, les frustrations, l’épuisement et l’amour immense qui accompagnent l’arrivée d’un enfant. Outre une réflexion personnelle, la photographe australienne cherche à interroger le cœur du sentiment maternel, au-delà de la cellule familiale et la complexité du rôle des mères dans la société, souvent simplifié voire déconsidéré.

EPIC #8 / Mother / Lisa Sorgini
Derrière les chromies chaudes et la douceur des images de Lisa Sorgini, on retrouve les joies, les frustrations, l’épuisement et l’amour immense qui accompagnent l’arrivée d’un enfant. Outre une réflexion personnelle, la photographe australienne cherche à interroger le cœur du sentiment maternel, au-delà de la cellule familiale et la complexité du rôle des mères dans la société, souvent simplifié voire déconsidéré.
































































